Ragni est un des derniers fabricants français indépendants de son secteur, l’éclairage public. Nous remercions toute l’équipe pour sa fidélité dans le suivi de nos actions.

La plupart d’entre elles ne sont pas du tout allées à l’école lorsqu’elles étaient enfants. Certaines sont allées jusqu’en primaire, lorsqu’elles avaient la chance d’habiter un endroit où il y avait une école. Aujourd’hui, elles sont toutes animées par la même envie : apprendre ou se perfectionner en lecture, écriture, calcul 4 heures par semaine.

Bravo mesdames.

Les élèves du collège de Louly, encadrés par Dominique le jardinier-gardien et les enseignants, ont semé tomates, aubergines, manioc et piment pour alimenter la cantine de l’école.

Nous adressons un clin d’oeil amical à Bruno, Michel et Victor qui, quelques années auparavant, ont financé / installé une pompe à eau qui permet l’arrosage de ces plantations.

• Véronique, marraine de Diango, et Fabrice parrain de Omar. Pour la petite histoire, Véronique et Fabrice ont connu notre association grâce à Yannick, qui a emmené ses amis fêter ses 50 ans au Sénégal et ensemble, ils ont visité l’école de Louly que Yannick soutient depuis plusieurs années.
• Gabrielle, marraine de Mame Diarra, a connu l’association grâce à Amélie. Pour la petite histoire Amélie a offert ce parrainage a sa « vraie » filleule, tout comme elle l’avait déjà fait avec ses autres « vraies » filleules et avec sa fille.

• Charlène et Maxime, parrains d’angélique, ambassadrice Séverine
• Mathilde, marraine de Mossane, ambassadeurs Agnès et Denis
• Marion et Guillaume, parrains d’Alioune, ambassadrice Martine

Nogoye et Marc s’occupent de “la maison des femmes” et recueillent des femmes rejetées ou battues, ainsi que leurs enfants. Ils les abritent et leur proposent une formation, un micro-crédit ou un abri, le temps de repartir de bons pieds.

Notre association avait participé au financement de projets en début d’année grâce aux recettes d’un concert.

Notre visite cette semaine a permis de voir les avancées : démarrage de l’installation de l’atelier couture permettant de former des femmes du quartier, mise en place de l’aide aux devoirs le mardi et le jeudi soir grâce au financement de la classe et du matériel, formation diplômante en couture pour 3 femmes.

Grâce aux dons privés et institutionnels, et grâce aux recettes des ventes solidaires que nous organisons en France, notre association finance depuis 2016 la scolarisation des enfants de la Pouponnière ainsi que le fonctionnement d’une salle de classe pour les tout petits à l’intérieur du centre.

Rappelons que la Pouponnière de Mbour est un lieu d’accueil temporaire du tout petit enfant privé de sa maman. La structure leur permet de vivre protégés pendant les premières années de leur vie, avant de regagner leur famille.